Durant la première journée de la conférence, Elies Van Belle a été mise au défi par ces observations.
- Les médecins peuvent en faire beaucoup plus.
- Seuls, nous allons vite, ensemble, nous allons plus loin. Ce n’est toutefois pas une évidence.
- La crise climatique et sanitaire requiert une approche factorielle et intersectionnelle. Nous devons examiner le système dans son ensemble, ainsi que les liens et collaborer.
- Nous ne pouvons laisser personne derrière. 50 % de la population mondiale la plus pauvre est seulement responsable de 10 % des émissions de carbone. La lutte contre la pauvreté est leur principale préoccupation. Il n’est pas rare qu’ils n’aient pas conscience de l’impact de l’urgence climatique sur leur vie quotidienne et du fait qu’elle est cause d’inégalité.
« Un médecin généraliste n’est pas seulement chargé d’examiner les problèmes médicaux cliniques, il doit également examiner la personne dans son environnement global. Et nous pouvons faire tellement plus ! »